Régina France Dumien Né à Paris, en France, en 1914. Six ans plus tard, elle a déjà fait ses débuts au cinéma dans le rôle-titre de Petit ange/Little Angel (Luitz-Morat, Pierre Régnier, 1920). Son rôle et le film ont été un énorme succès.
Célèbre critique de cinéma Louis Delluc écrit dans le journal Paris-Midi (30-12-1920): "Cette agréable comédie cinématographique représent ...
Régina France Dumien Né à Paris, en France, en 1914. Six ans plus tard, elle a déjà fait ses débuts au cinéma dans le rôle-titre de Petit ange/Little Angel (Luitz-Morat, Pierre Régnier, 1920). Son rôle et le film ont été un énorme succès.
Célèbre critique de cinéma Louis Delluc écrit dans le journal Paris-Midi (30-12-1920): "Cette agréable comédie cinématographique représente l'assimilation intelligente du cinéma américain moyen. Une technique détaillée, une idée amusante et ingénieusement développée, un dessin franc, vivant et précis, avec goût, mouvement et simplicité ».
L'année suivante, Régine, 6 ans, a eu une petite partie d'un film du célèbre réalisateur d'avant-garde. Germaine Dulac, La mort du soleil/La Mort du Soleil (1921) vedette André Nox.
Elle est ensuite apparue avec Rita Jolivet et Gabriel Signoret dans la production du Film d’Art Roger la Honte/Roger la honte (Jacques de Baroncelli, 1922). Cette année-là, elle est également apparue dans le film populaire en série. Mystères de Paris/Mystères de Paris (Charles Burguet, 1922) dans le rôle de la jeune Fleur-de-Marie, jouée comme adulte par Huguette Duflos.
Elle a joué le rôle-titre de La loupiote (Georges Hatot, 1922), écrit par Arthur Bernède et Aristide Bruant. Dans le drame de Pathé Frères ztre ou ne pas être être ou non être (René Leprince, 1922), elle est en vedette en face Léon Mathot et Renée Sylvaire.
En 1923, Régine Dumien apparaît dans la suite de son premier film : Petit ange et son pantin/Little Angel and her Puppet (Luitz-Morat, 1923).
La même année, l'étoile de 9 ans a pu être vue dans le short Pathé Baby La Tartine/pain et jarre (1923) et Le Bon Oncle/Le Bon Oncle (1923) sur un oncle qui apprécie une belle sieste après le déjeuner, mais doit ensuite faire face aux friles de Régine.
En 1924, elle apparaît dans quatre films : L'ombre du bonheur/L'ombre du bonheur (Gaston Roudès, 1924) avec France Dhélia, Le chemin de Roseland/La route de Roseland (Maurice Gleize, 1924), La joueur d'orgue/Le joueur d'organes (Charles Burguet, 1924), et Grand-mère/Grand-mère/Grand-mère (Albert-Francis Bertoni, 1924) avec Rémy constant.
Ce serait aussi son dernier film. Pourquoi sa carrière cinématographique s'est-elle alors arrêtée alors, alors qu'elle n'avait que 10 ans ?
La seule autre information sur Régine Dumien que l'on a pu trouver est qu'elle est morte en 1979, à Villepinte, en France, à l'âge de 64 ans.
